Libre propos : Quentin Demongaryas revient sur la dot et la loi de 1961 sur le mariage coutumier

“Une loi votée qui passe par la procédure de promulgation ensuite signée du président de la République, si cette loi n’est usitée, c’est-à–dire si elle n’est pas exploitée cette loi devient caduque. Mais aujourd’hui on parle surtout du problème de la dot à partir du mariage coutumier ou traditionnel et cette coutume elle-même a ses exigences, que dit la coutume et le mariage traditionnel sur nos meurs par rapport à la virginité de la femme, pour faire un mariage traditionnel ou coutumier elle doit être vierge mais aujourd’hui l’on doit regarder la déprédation de la femme et ses meurs pour savoir si elle mérite le mariage, il faut rétablir les meurs avant de venir faire un débat sur le mariage coutumier.” A-t-il lancé.

Avant de conclure en ces termes ; “si une loi n’est pas utilisée elle tombe sur la désuétude, c’est-à-dire une loi qui n’est pas utilisée tombe dans la caducité.”