POLITIQUE

Discours de vœux à la nation : Stéphane Germain ILOKO BOUSSENGUI souhaite que les Gabonais, sans distinction aucune, s’approprient le discours d’Ali BONGO ONDIMBA

Comme à l’accoutumée chaque 31 décembre de l’année et ce, depuis son accession à la magistrature suprême le Président de la République, Chef de l’Etat, son Excellence, Ali Bongo Ondimba a présenté ses vœux de nouvel An à la population Gabonaise le vendredi 31 décembre dernier. Dans son allocution le numéro un Gabonais s’est appesanti sur différents sujets de l’heure parmi lesquels ; les mouvements de protestations sur le front social notamment l’éducation, les régies financières, etc. Mais aussi la pandémie de la covid-19. Tout ceci largement commenter le samedi 1er janvier 2022 d’un côté, par le conseiller du président auprès du SG du PDG, Stéphane Germain ILOKO BOUSSENGUI et de Francky Meboon, Chroniqueur et communiquant sur le plateau de Nour TV à l’émission Parlons peu, parlons vrai présentée par Rodrigue Mithiro.

Sur ce plateau de télévision les différents intervenants ont eu a cœur de défendre leurs positions, mais surtout de décortiquer les propos tenus par le Chef de l’État, Ali Bongo Ondimba lors de son discours de présentation de vœux de nouvel An à la nation.

En toute courtoisie et dans un langage limpide, chacun selon son argumentaire a analysé le discours tant attendu par la population Gabonaise dans la nuit du vendredi 31 décembre dernier. Le Président de la République, Ali Bongo Ondimba qui rappelons-le a déclaré : « En cette période difficile, où nous devrions toutes et tous faire preuve de solidarité, certains ont cru bon de déclencher des mouvements de grève. C’est le cas notamment dans l’Éducation nationale. Nos élèves, déjà lourdement éprouvés et pénalisés par l’épidémie de la Covid-19, qui ont vu leurs cours suspendus, leurs examens reportés, qui s’inquiètent légitimement pour leur avenir, ces élèves n’ont-ils pas assez souffert ?

Prendre en otage les enfants de ce pays ; nos enfants, nos progénitures, hypothéquer leur futur au nom de je ne sais quel intérêt, c’est véritablement irresponsable et condamnable. (…)

Les régies financières, elles aussi, se sont mises en grève. Une fois de plus, quand bien même, certaines de leurs revendications ont été satisfaites. Or, cette grève n’est pas sans conséquence pour notre économie, déjà fort impactée par la crise sanitaire.

Elle provoque des pertes financières et de graves perturbations dans le fonctionnement de l’Etat. Il devient plus difficile d’assurer les salaires de nos médecins ou de nos enseignants, de régler les pensions de nos retraités, de financer les médicaments pour les Gabonais économiquement faibles. Etc.

Pourquoi rajouter de la difficulté à la difficulté ? La situation n’est-elle pas déjà assez difficile ? Ce sont les fonctionnaires qui sont au service de l’Etat et non l’Etat qui est au service des fonctionnaires. Si la grande majorité de nos fonctionnaires sont irréprochables, exemplaires, une minorité d’entre eux à l’évidence, a perdu le sens de l’intérêt général.

J’ose le dire : c’est déplorable et irresponsable. Au moment où je demande à chacun d’entre vous de faire des efforts, une catégorie de notre population, a fortiori des fonctionnaires, ne peut et ne doit se désolidariser du reste de la population et rester en marge, au risque de déstabiliser notre pays. C’est jouer contre son camp, contre son peuple. (…)”

Sur ces différents points abordés par le président de la République, Ali Bongo Ondimba, le conseiller du DCP auprès du SG, porte parole du PDG, Stéphane Germain ILOKO BOUSSENGUI a indiqué : “le Président de la République, Ali Bongo Ondimba, par ailleurs Distingué Camarade Président a évoqué quasiment tous les aspects de la vie publique au Gabon dont notamment la covid-19, il a passé en revue les réalisations du gouvernement sous sa houlette bien sûr, non sans omettre les problèmes d’ordres sociaux à savoir les grèves dans les régies financières, l’éducation et bien d’autres. Mais aussi qu’il sait projeter sur son avenir à la tête du pays. Dans l’ensemble, c’est un discours fort de sens que devrait s’approprier aussi bien les populations que la société civile, mais aussi les acteurs politiques tant de la majorité que de l’opposition.” A-t-il martelé.

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