SOCIÉTÉ

Délinquance juvénile : les chauffeurs du n’gori n’en peuvent plus des élèves turbulents du Lycée technique Omar Bongo

Les élèves du lycée technique Omar Bongo se plaignant en octobre dernier de n'avoir pas assez de bus de transport ne sont en réalité qu’une bande de perturbateurs très souvent en état d’ébriété où sous effet d'alcool et de drogues dures telles que le caillou, le kobolo...

Alors qu’ils se plaignaient en octobre 2022 d’être abandonnés à eux-mêmes après les cours par les transporteurs de la société de transport Trans Urb, l’opinion, du moins celle a leur contact a fini par s’en rendre compte que la plupart de ces élèves du lycée Technique OMAR BONGO ne sont en réalité qu’une bande d’ambianceurs soucieux d’animer la galerie à bord des bus plutôt que d’être transportés paisiblement jusqu’à destination.

Ces apprenants âgés majoritairement entre 11 et 19 ans passent l’entièreté de leurs journées à se pavaner en tenue d’une commune à une autre, et ce, de bus en bus. Les plus coriaces vont même jusqu’à grimper sur les toitures de ces mastodontes en circulation afin de démontrer leur génie acrobatique de cascadeurs.

Profitant de l’affluence des honnêtes citoyens désireux réellement de regagner leurs domiciles en fin d’après-midi à l’arrêt bus de Rio après diverses occupations, c’est à ce moment précis qu’ils se réunissent en masse à nouveau prétextant vouloir également rentrer chez eux. Une manœuvre souvent à l’origine d’altercations avec les personnels de Trans Urb pris pour les dindons de la farce par ces voyous en tenue scolaire.  

La présence des forces de l’ordre à cet endroit n’a que très peu dissuader ces délinquants à ne pas troubler l’ordre public.

Le ministère de l’Éducation nationale, chargé de l’éducation civique ferait mieux de trouver une solution à cette équation avant que cela ne dégénère entre ces élèves perturbateurs et des parents exaspérés par ces comportements d’enfants gâtés.

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