Encore une situation des plus déplorables au Centre des Libéraux Réformateurs (CLR). Jean Boniface Assélé le fondateur par ailleurs, président du conseil politique, s’illustre pour la deuxième fois en défiant à tout point de vue les décisions prises par la Déléguée générale, Nicole Christiane Assele, et son adjoint Alexandre Désiré Tapoyo.
C’est à travers une note dûment signée et transmise à cette dernière que Jean Boniface Assélé a manifesté le 10 août dernier sa désapprobation des installations des cellules de base par Alexandre Désiré Tapoyo, l’actuel Délégué général 1 du CLR, dans différentes régions du pays.
« La vision politique du CLR relève exclusivement des prérogatives du Conseil politique sinon de son président, et je n’ai pas souvenance, en cette qualité d’avoir autorisé quiconque a décliné une nouvelle orientation politique » s’oppose fermement, Jean Boniface Assele, a la suite des décisions prises par les cadres de son parti.
Celui-ci de poursuivre : « Cette attitude qui relève de l’anarchie, frise la provocation, mépris et met à mal l’intégrité du parti et la crédibilité de son plus haut responsable, que je suis. » A-t-il souligné.
Dans sa démarche, il instruit Alexandre Désiré Tapoyo de suspendre toute autre installation jusqu’à ce qu’une concertation soit organisée dans le but de calibrer les discours ; « d’assurer la représentativité du parti à ces cérémonies qui, désormais, apparaissent comme des spectacles individuels et narcissiques des organisateurs. » Relève le quotidien l’Union.
