POLITIQUE

Chadi Moukarim n’est pas seulement un bon Maire, mais le meilleur qui soit

Nombreux sont ceux qui l’ont découvert à la suite de cette agressivité commise sur sa personne par les forces de l’ordre (police), le mercredi 30 décembre 2020 après s’être interposé à la destruction d’un établissement pré primaire dans sa circonscription politique, l’homme est aussi bien connu pour son côté fédérateur, son grand cœur et surtout son esprit de partage. De lalala à IAI en passant par Mindoubé, Ozangué, et même beaucoup plus loin Chadi Moukarim fait l’unanimité.

En se portant candidat à la tête de la mairie du 5e arrondissement de Libreville, Chadi Moukarim s’est juré de défendre les intérêts de tout un chacun et venir en aide à ses concitoyens dans le besoin, ce qui à priori est fait jusqu’à ce jour avec brio. 

On l’a vu faire bitumer des voies secondaires, réhabiliter des passerelles, offrir du matériel didactique aux établissements scolaires, refaire les travaux de la Mairie dont il a la charge, cela sans ignorer son engagement personnel à l’entame de la crise sanitaire lors du confinement total à la distribution des denrées alimentaires à l’endroit des personnes les plus vulnérables. Raison pour laquelle toutes les personnes rencontrées par notre rédaction concernant ce compatriote disent de lui être le meilleur Maire qui soit dans un arrondissement de la capitale gabonaise.

Un fonceur né

Chadi Moukarim est un patriote exemplaire soucieux du bien-être de ses concitoyens la preuve, il combat avec vigueur la décision de justice intimant l’ordre à la Municipalité de plier bagages au risque de se voir subir les foudres du prétendu acquéreur et de la loi ; « le soit transmis du Tribunal de Première Instance de Libreville n°9552/2019-2020/PR du 06 Août 2020, en vue de l’exécution de la décision de justice n°713/18-19 du 05 juillet 2013, relative à l’expulsion de la Mairie de Libreville et tout occupant de son chef de la parcelle 79 section D8 du plan cadastral de Libreville et de la destruction des constructions érigées sur cette parcelle ». D’où quelques interrogations ; comment peut-on se permettre de contenter un individu au détriment de l’éducation des enfants gabonais ? L’acquéreur de cette parcelle « un sujet Libanais » dit-on, avait il réellement conscience des désagréments causés par cet achat ? Et comment peut-on du jour au lendemain devenir propriétaire d’une parcelle municipale dans laquelle s’y trouve un édifice d’enseignement public ? 

À propos, certaines langues se délient dans cette partie de la commune de Libreville en évoquant une collision de l’ancien Premier ministre et Maire de Libreville Jean François Ntountoum Émane avec l’homme d’affaire Libanais.

Toutefois, après avoir été molesté par les forces de l’ordre puis admis en soins intensifs dans un centre hospitalier de la place, cette matinée de lundi 4 janvier 2021 Chadi Moukarim est reparti sur les lieux de la discorde pour y tenir tête une nouvelle fois a cet acquéreur à travers un sit-in où il est accompagné cette fois-ci de pères et mères de familles concernées par cette situation.

Capture d’écran du post du Maire Chadi Moukarim à nouveau présent sur les lieux de la discorde @ La Une Media Gabon

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