POLITIQUE

Albert ONDO OSSA souhaite qu’Ali BONGO ONDIMBA libère pacifiquement le pouvoir

Au cours d’une conférence de presse organisée le week-end écoulé dans une structure hôtelière de la place, l’économiste et homme politique proche de l’opposition Professeur Albert Ondo Ossa a décliné sa vision du pays aux représentants des médias. Pour ce dernier, il est grand temps de remettre le Gabon sur les bons rails avec le soutien de tous.

Ayant passé en revue le climat politique actuel dans notre pays et certains d’être l’homme qu’il faut pour sortir le Gabon de sa profonde léthargie, l’ancien Ministre de la République sous feu Omar Bongo OndimbaPr Albert Ondo Ossa, a appelé les Gabonais lors de sa conférence de presse organisée dans une structure hôtelière de la place sous le thème « le redressement du Gabon », à le soutenir dans sa démarche. Comme certains de ses compères, ce dernier estime que “la République est à terre”.

Face aux convives, notamment certains acteurs politiques, la société civile ainsi que les représentants de la presse nationale et internationale l’économiste a mis en évidence le mal-être actuel. “plus rien ne va, la situation actuelle du pays impose qu’il y ait un changement au sommet de l’État« . A-t-il martelé. Tout en affirmant pouvoir redressé le Gabon si les Gabonais lui en donnent les moyens.

Ni les manœuvres politiciennes, ni les fausses promesses ne doivent nous faire oublier l’urgence d’un plan de redressement de notre pays” (…) “le Gabon doit s’attendre à une crise d’ampleur qu’il ne l’est actuellement. Sans infrastructures routières, hospitalières, scolaires, avec la mal gouvernance, la gabegie, les détournements de fonds systémiques, la qualité de vie des gabonais. A-t-il martelé.

L’ancien membre du gouvernement invite donc les gabonais(es) à s’investir au redressement du Gabon sur tous les plans. Selon lui, un bilan de ce qu’il nous reste s’impose au moment où nous nous apprêtons à célébrer le 62e anniversaire d’indépendance.

Toutefois, Albert ONDO OSSA propose une concertation inclusive afin que l’actuel président de la République, Ali Bongo Ondimba, cède le pouvoir et qu’une transition de 12 à 24 mois soit mise en œuvre pour le bien de tous car trop de sang, estime-t-il, a coulé.

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