De quel népotisme parle notre confrère La loupe dans sa parution numéro 486 du mercredi 16 décembre 2020, idem pour le procès d’intention faisant croire que certains cadres de l’entreprise SETRAG seraient sur la sellette. Une aberration sommes nous tenter de croire.
La raison de cette ambiance délétère au sein de la SETRAG depuis le 20 octobre dernier, date de la nomination de l’actuel Directeur général, n’a absolument aucun rapport avec celle décrite par notre confrère usant de méthodes dissuasives pour diviser et opposer les compatriotes en dressant une liste des supposées victimes de ce dernier. Une machination dont le but est de faire croire aux lecteurs, mais aussi au Directeur général tout comme aux administrateurs qu’ils sont à l’origine de cette saisie de la presse pour nuire au bon fonctionnement de l’entreprise.
Concernant l’acharnement envers le Directeur général, il s’appuierait sur des faits sectaires et d’un supposé rapprochement entre personnalités distinctes. Cela parce que Awandji de Moanda comme un certain Batolo, lui aussi appartenant au même groupe ethnique, de ce fait Magni ne devrait pas être nommé directeur général. Un entendement invraisemblable, dès lors que notre pays a toujours prôné pour la prime au mérite.
Comment comprendre ces inepties adressées à celui pourtant considéré par ses pairs comme étant un top manager ? Que cache cette cabale médiatique, cause de harcèlement des services spéciaux envers notre compatriote ?
C’est n’est un secret pour personne, la préférence nationale à la tête de nos entreprises est depuis quelques années une exigence, la nomination de Christian Magni devrait donc inspirer d’autres concitoyens à faire autant sinon mieux pour que vive le Vert Jaune Bleu, plutôt que de le canarder à longueur de journée.
Quant à nos confrères, il serait judicieux de rédiger des articles dénonciateurs et calomnieux plutôt que d’évoquer a l’emporte-pièce des faits infondés, c’est aussi cela être responsable une presse responsable.
