Élection présidentielle 2023 : il n’y a aucun candidat providentiel pour battre Ali BONGO ONDIMBA
La République Gabonaise se prépare à la tenue de trois (3) scrutins majeurs (présidentielle, Législative et Local) pour lesquels les intentions de candidature sont portées à la connaissance de l'opinion, les déclarations de candidature sont également annoncées à ladite opinion.
Plusieurs personnalités politiques sont entrain « D’AFFÛTER LEURS ARMES » au sens du noble du terme aux fins d’arracher la vedette à « ALI BONGO ONDIMBA » qui devra sous peu lever le voile sur sa candidature pour un troisième (3ème) mandat. Certes rien n’est acquis d’avance car « ALI BONGO ONDIMBA », c’est 14 ans au pouvoir, c’est plusieurs promesses non tenues telles que :
« LE BARRAGE-HYDROÉLECTRIQUE SUR LA CHUTE DU FLEUVE BIBAKA À MALINGA, LE DÉSENCLAVEMENT DE PLUSIEURS DÉPARTEMENTS À L’HEURE QU’IL EST (LA ROUTE), LE CHÔMAGE DES JEUNES QUI NE CESSE DE CROÎTRE, LA VIE CHÈRE AVEC LE PROJET GRAINE DEVENU UN FEU DE PAILLE, L’INSÉCURITÉ, L’ADDUCTION D’EAU POTABLE SUR L’ENSEMBLE DU TERRITOIRE NATIONAL ET AUTRES« .
C’est un bilan mi-figue mi-raisin qu’il va falloir défendre le moment venu à travers un discours politique bien calibré aux fins de convaincre le Peuple Gabonais de voter le « PDG ».
Cependant, bien qu’ayant le monopole de la gouvernance du pays depuis 1967/68, aucun adversaire quel qu’il soit ne pourrait battre « ALI BONGO ONDIMBA, CANDIDAT DU PDG », en d’autres termes il n’y a aucun « CANDIDAT PROVIDENTIEL » pour succéder au fils d’Omar Bongo Ondimba à la tête du pays.
Qu’il s’agisse de : « ALEXANDREBARRO CHAMBRIER, BRUNO BEN MOUBAMBA, SÉRAPHIN AKURE-DAVAIN, LOUIS GASTON MAYILA, PIERRE-CLAVER MAGANGA MOUSSAVOU, GÉRARD ELLA NGUEMA ET BERTRAND ZIBI ABEGHE », lesquels sont pour la plupart d’entre eux des produits recyclés du Parti Démocratique Gabonais (PDG) dont la nature du discours politique est bien connue.
À partir du moment où ils ont été associés à la gestion du pays, ils sont de ce fait comptables donc tenus responsables de la déliquescence dans laquelle se trouve notre pays, ils ne sont pas du tout crédibles pour initier le changement dans notre pays ou être ceux-là qui devront susciter le « RENOUVELLEMENT DE LA CLASSE POLITIQUE AU GABON ».
De façon claire, ils sont tous disqualifiés pour une accession à la Magistrature Suprême en lieu et place « D’ALI BONGO ONDIMBA ». Leur Égo surdimensionné ne pourrait pas provoquer une dynamique aux fins de la production d’un « CANDIDAT UNIQUE » où tout se jouera à un (1) seul tour.
Par ailleurs, le seul candidat qui pourrait faire tressaillir la galaxie présidentielle ne devra pas s’être frotté au pouvoir de quelle que façon que ce soit pour justifier << SA VIRGINITÉ ET SA CRÉDIBILITÉ >> face au << PEUPLE GABONAIS >> .
Un candidat qui ne traînera aucune casserole par devers lui même en fouillant dans les poubelles les plus immondes, un candidat qui aurait un « MESSAGE CONSTRUCTIF, FÉDÉRATEUR, NOVATEUR ET TOUT EN CONSULTANT LA MÉTÉO DE LA MYSTIQUE, QUITTE À FAIRE DANS LA NÉCROMANCIE POUR ÉVITER D’ÊTRE UN CANDIDAT EN VILLÉGIATUR. »
En somme, sans excès de zèle ou d’une hyper-confiance, le futur candidat du Parti Démocratique Gabonais ( PDG ) qui est « ALI BONGO ONDIMBA » et qui, selon les textes qui font de lui le Président dudit Parti, se trouve être le candidat naturel, considérant l’analyse qui est la mienne, il se trouverait en bonne posture pour remporter les « FUTURES ÉCHÉANCES ÉLECTORALES ».
Ayant une parfaite connaissance de ses adversaires politiques du point de vue morale et de leur personnalité politique. Toute stratégie politique de leur part profiterait au « CANDIDAT DU PDG ». Les Anglo-Saxons disent : « WAIT AND SEE ». Je sors par là.
Par Astanyas Maye Kahells BOUKA Acteur Politique, soutien indéfectible du Chef de l’État, Son Excellence ALI BONGO ONDIMBA
