Justice : André Patrick Roponat rebelote dans ses fonctions de Procureur de la République, l’homme qu’il faut à la place qu’il faut
Le conseil supérieur de la magistrature, présidé par le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, en sa qualité de Président de la Transition et Chef de l’État, a opté pour la reconduction d’André Patrick Roponat à son poste de procureur de la République près le tribunal de première de Libreville. Une forme de reconnaissance du premier magistrat du pays pour le travail remarquable abattu ces deux derniers mois, en dépit des attaques multiples contre sa personne.

Le système judiciaire gabonais n’a de secret pour le procureur de la République, près le tribunal de première instance de Libreville, André Patrick Roponat, fraîchement reconduit à son poste à l’issue du Conseil supérieur de la magistrature, présidé par le Général Brice Clotaire Oligui Nguema, en sa qualité de Président de la Transition et Chef de l’État.
Un dénouement heureux pour André Patrick Roponat récemment pris pour cible par des individus à priori habités par la rancoeur et s’investissant dans une campagne diffamatoire dans le seul but de mettre un frein à son carrière. Mais serein et ne se reprochant de rien, c’est l’esprit tranquille qu’il s’est vu réinvesti à son poste de procureur de la République.
Une confiance renouvelée par le président de la République, Chef de l’État, pour sa compétence, sa détermination, sa loyauté, sa fidélité et surtout sa bravoure.
Jalousé par les ennemis de la République, le procureur s’est donné pour mission de servir la patrie sans se servir. Homme conscient et réaliste, il enchaîne les succès. Son maintien sonne le glas des idées reçues selon lesquelles, c’est une marionnette du pouvoir déchu dans l’incapacité de servir le peuple et aucun mérite à occuper ce poste tant convoité.
Les dernières apparitions d’André Patrick Roponat ont pu démontrer à l’opinion sa parfaite gestion des affaires les plus complexes. Parmi elles figurent, celles des collaborateurs de l’ancien Chef d’État, du fils Noureddin Bongo Valentin ainsi que son épouse Sylvie Aimée Marie Valentin connue sous l’appellation de Sylvia Bongo Valentin. Tous impliqués dans différents crimes, financiers, trafic de stupéfiants, faux et usage de faux, et bien d’autres.
Des dossiers gérés à ce jour avec maestria, cela donnant lieu à l’estime qu’il bénéficie de ses pairs ainsi que d’une importante frange de la population convaincus son honnêteté. Un exemple à suivre dans le nouveau Gabon.