Diaspora : les Gabonais de Dubaï, des escrocs, braqueurs et adeptes du Porta-Potty
Le président de la transition, Chef de l’État, Brice Clotaire Oligui Nguema, a dénoncé récemment lors d’une rencontre avec ses compatriotes gabonais vivant aux Emirats Arabes Unis les actes répréhensibles ternissant l’image du pays.

Comme lors de ses précédentes rencontres avec les Gabonais de l’étranger, le président de la transition Chef de l’État, Brice Clotaire Oligui Nguema, a eu un échange franc et direct avec ceux établis à Dubaï aux Émirats Arabe Unis en marge du sommet de la COP28.
Cette rencontre était l’occasion pour le président de la transition de sensibiliser ses compatriotes sur les actes répréhensibles dont ils sont à l’origine dans ce pays du Moyen-Orient.
« En venant ici mes services de renseignement m’ont fait le point de la situation des Gabonais à Dubaï, j’ai entendu les mots en tout genre que partout où nous sommes allés je n’ai jamais entendu. » A-t-il martelé.
Plus loin le général de brigade, Brice Clotaire Oligui Nguema, enfonce le clou : « Nous étions en Guinée-Equatoriale, en Centrafrique, au Rwanda, en RDC… De tous les compatriotes que j’ai reçu, je n’ai pas entendu cela. C’est désolant que l’on me dise que les gabonais c’est des voleurs, des braqueurs et que pour certaines de nos sœurs c’est la pratique que vous appelez sur Internet Porta – Potty. Voilà pourquoi je vais vous demander de vous lever pour qu’on se regarde franchement dans les yeux » A-t-il souligné.
Ladite diaspora estimée a une quarantaine de membres à en retour fait état de ses doléances relatives dans la plupart des cas à leurs conditions de vie au Président Brice Clotaire Oligui Nguema.
Conscient de leur mauvaise réputation, l’un d’entre eux a présenté ses excuses à la première autorité du pays au nom de tous. Tant dis qu’une autre a fait remarqué : « Il est bien vrai que nous posons des actes condamnables, mais ce ne sont pas tous les gabonais de Dubaï qui le font. »
Des actes qui étonnent plus d’un rester au pays quand on sait la fierté dont à souvent fait montre les ressortissants gabonais à l’étranger, à croire qu’il s’agirait de personnes malveillantes ayant obtenu frauduleusement la nationalité gabonaise dans l’unique but d’opérer de basses besognes sous d’autres cieux.