SOCIÉTÉ

CTRI-SEEG : le Covo à la mode, par solidarité aux leurs leaders syndicaux rasés au B2

La tendance actuelle pour d'aucuns est la boule à zéro, cela découle du bras de fer enclencher récemment entre le Comité pour la transition pour la restauration des institutions (CTRI) et les syndicats de la Société d’eau et d’énergie du Gabon (SEEG) s’étant soldé par la libération des leaders syndicaux gardés au B2 après avoir été rasés. Un abus d’autorité estime une partie de l’opinion jugeant utile de les soutenir en se faisant dégarnir le crâne à leur tour.

Les faits remontent à lundi 11 décembre dernier lorsque que les leaders syndicaux sont arrêtés puis placés en garde à vue pendant plus de 72 heures au B2 (DGCISM, Direction générale des contre-ingérences et de la sécurité militaire). Au moment de leur relaxe après avoir présenté des excuses au Président de la transition, Général de brigade, Brice Clotaire Oligui Nguema, qu’ils avaient au préalable défié verbalement, grande a été la surprise de plus d’un de voir les leaders syndicaux regagner leurs domiciles le crâne rasé. 

Jugeant abusive cette correction du CTRI, certains agents de la SEEG tout comme plusieurs autres citoyens gabonais estiment injuste le rasage forcé car n’obéissant à aucun texte prévu par le Code de procédure pénale gabonais, décidant à leur de se raser les têtes en guise de soutien aux leaders syndicaux revendiquant le paiement du 13e mois perturber en raison de la situation financière alarmante du moment de ladite entreprise.

Une chose est sûre, ces leaders syndicaux peuvent se satisfaire d’avoir tout ce soutien quant on sait la qualité approximative des services proposés à leur clientèle dans l’ensemble du pays.

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