2e siège du troisième arrondissement de Libreville : l’honorable Germaine Ngalibali désavouée par son électorat ?
À deux mois des élections générales qui auront lieu dans notre pays, les riverains des quartiers du troisième arrondissement de la commune de Libreville dénoncent le comportement jugé peu patriotique de l’honorable Germaine Ngalibali. Selon plusieurs d’entre eux rencontrés par notre rédaction, cette dernière foulerait au pied la politique de partage prônée par le président de la République, Chef de l’État, Ali Bongo Ondimba.
Dans les quartiers tels ; Belle-vue 2, Cosmopark, Rio, Kinguélé, Akebe-Plaine, et bien d’autres. Les populations s’accordent à dire que leur représentante à l’Assemblée nationale, l’Honorable Germaine NGALIBALI née Germaine Ndjeri n’a jamais répondu à leurs attentes tout au long de son mandat arrivé à terme. Son égocentrisme est le principal motif de cette désunion.
Qualifié d’anti-social pour diverses raisons, l’élu du Parti Démocratique Gabonais (PDG) viol aux yeux et au su de tous les consignes du numéro un de sa formation politique qu’est le Distingué Camarade Président, Ali Bongo Ondimba, à savoir ; le partage et la proximité afin de bénéficier de la confiance des populations. Ce qui hélas, n’a jamais été le cas depuis l’entame de son mandat.
L’attitude de l’Honorable Germaine Ngalibali est remise en cause, selon les personnes rencontrées, elle se préoccupe très peu des besoins qui sont les leur. Son bilan à l’hémicycle de l’Assemblée nationale est quasi nul dans tout le siège : absence d’aires de jeux pour enfants, insécurité galopante avec des braquages à tout coin de rue, consommation et vente de drogues ou stupéfiants, chômage accrue des jeunes diplômés, absence d’eau potable dans les robinets, inondations, et bien d’autres. Mieux, l’élu est accusé de n’avoir jamais ou presque pas assez fait de tournée de compte-rendu parlementaire et échanger de vive voix avec les populations pendant 5 ans.
Suite à ce comportement jugé méprisant et se sentant trahi par celle qui semble se préoccuper beaucoup plus pour ses propres intérêts plutôt que par ceux de ses électeurs du moins ceux qui croyaient encore elle, optent désormais pour la rupture pure et simple, estimant qu’il est grand temps de tourner la page et ce peu importe son parapluie. En cas d’investiture imposée pour un 2nd mandat, contraire à leur volonté ils accorderaient leurs voix à un candidat fut-il de l’opposition ou non.
